Les métaux comme le cobalt, le nickel et le manganèse sont naturellement présents dans la mer à des concentrations traces —c’est-à-dire faibles. En Nouvelle-Calédonie, en raison notamment du contexte géochimique et géologique de l’archipel, ces concentrations peuvent être élevées en aval des bassins versants des maquis miniers, ce qui permet de mener des expérimentations de terrain intéressantes comparant des sites présentant de faibles et de fortes concentrations en métaux. Les travaux de Tom Biscéré sous la direction de Fanny Houlbrèque, biologiste marin de l’UMR ENTROPIE, menés en conditions de terrain et en laboratoire, ont révélé des effets inattendus de ces métaux sur les récifs coralliens.

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